Sous ses airs de fille désillusionnée, Mamzelle Amandine aborde la vie comme on rentre dans un mur, se cognant sans cesse à la réalité, sans préambule et sans concession.
Impertinente, reine de la mauvaise foi mais néanmoins touchante de fragilité, elle dessine des tableaux vivants à partir de natures mortes, oscillant entre humour noir et douce mélancolie.
Comment ne pas se laisser attendrir devant celle qui, en dépit de la logique, s’obstine à vouloir constamment embellir la réalité ?